Elle serait née des larmes versées par Marie Madeleine lorsqu’elle arriva au tombeau et qu’elle le trouva vide, le corps de Jésus ayant disparu.
Une autre croyance populaire voudrait qu’elle ait été, à l’origine, totalement blanche ! Un jeune berger ne possédant rien, l’aurait offerte à Jésus qui venait de naître : Marie aurait accepté la modeste offrande, y aurait déposé un baiser qui aurait coloré le cœur de la fleur.
Effeuiller la marguerite permet de connaître le degré d’amour de ce celui que l’on aime, en secret ou non. Victor Hugo y fait référence dans les Misérables, publié en 1862 : la coutume est donc déjà ancienne !
Sa fleur a des propriétés gastro-intestinales et respiratoires et permet de soigner bien des choses !
Il existe des variétés plus sophistiquées : les pâquerettes pomponnette, la variété « robella », la Cultivar aux bords roses, la pâquerette des bois… Mais la plus belle et la plus simple, ma préférée… est encore celle qu’on trouve dans les pelouses.
Je la trouve humble et volontaire, courageuse de repousser sans cesse. Les pâquerettes sauvages couvrent toutes les pelouses et vous pouvez les épargner si la coupe de la tondeuse est un peu haute.
Hervé coupe parfois haut pour me faire plaisir et ne pas couper leurs têtes.
